Voici mon bon papa, une folie de votre fille faitte pour vous, pour vous tout seul; il n'y á qu'a mr votre fils que je puisse vous pérméttre de la montrér: je désire que mon conte vous amuse, cela me payera du soin que j'ai pris de l'écrire en gros caractéres; adieu le meilleur des papas de ce monde possible; souvenés vous toujours que je serois bien fâchée qu'on sçut que je fais quélque-fois des vérs; cela n'empêche pas d'éstre une bonne fémme, mais vis a vis de bien des gents, cela donne un vérnis de prétention dont je ne veux point: adieu mon ami, a samedi—vous viendrés n'estce pas? entendre des noëls, et jouér aux dames:/: