Bonjour, cher Papa, je suis toujours estropié, et dans l’impossibilité d’aller vous voir, d’aprendre par moi même des nouvelles de vôtre Santé. Nôtre Dame n’ose point sortir au milieu de cette neige. Elle vous envoye la petite graine de l’Altamaha que lui a demandée Mons. vôtre fils. Auriez vous 3 ou 4 bouteilles de Madère sec ou de Xeres à m’envoyer, vous me feriez grand plaisir. Les habitans d’auteuil vous embrassent, et vous aiment