En massurant, Monsieur, que vous auries Egard a ma recommendation, pour vottre ancienne et malheureusse amie, cétoit unne assurance quelle nétoit pas éffacée de vottre coeur. Bien promtement je lui ai donnée cette consolation, mais elle ne sufira pas a sa situation. Puis-je ésperer que les démarches que vous aves sans doutte fait pour elle amellioreront son sort. Ce seroit manquer au respect a lestime généralle que vous vous éttes acquise de vous presser sur les sentiments, que lon doit a ces amis. Aussi monsieur je suis persuadee du zele que vous emploies pour tirer de la misere la vertueuse mis orrÿ. Je demande seulment que vous aÿes la bonté de me faire partager vottre satisfaction et la sienne. J’ai lhonneur dêtre Monsieur vottre tres humble et tres obeissante servante