M. Francklin
M. Francklin
Dans l’idée que la lettre que nous avons eû l’honneur de vous ecrire le 21 Avril 1778 ne vous est point parvenüe, nous prions M. Bonneau le Député du Commerce de cette ville de vous en présenter une copie. Daignés y voir l’expression sincére de nos sentimens et de nos voeux. Daignés encore, nous vous en suplions Monsieur, vous pénétrer de la réalité des avantages comuns et des raisons solides et touchantes sur lesquelles nous fondons nos démarches auprès du Gouvernement pour obtenir que la Rochelle soit un des ports-francs