Je prie Monsieur Franklin de se trouver jeudi prochain à l’assemblée de M. Pahin au college de Bayeux, (si sa santé toutefois et ses occupations le lui permettent) j’aurai l’honneur de lui lire une Epître en vers français, adressée au Roi, sur les hostilités des anglais; on l’a trouvée si vive et si énergique qu’elle pourroit concourir à exciter contr’eux l’indignation de toutes les autres puissances de l’Europe.
On y fait aussi l’éloge de M. Franklin.
J’ai l’honneur de lui presenter mon respect.