je n’ai Reçu votre lettre du. 29 janvier 1787. que le 31 mai Dernier, Ce Retard m’a privé de Remettre à Me. le Comte De la LuZerne, celle que Vous avés eu la bonté de m’envoyer Pour lui. Si Elle etait arrivée à temps, elle m’aurait été d’un grand Secours; Car jai Eprouvé; tres Respectable frere; depuis que jai eu la faveur de vous ecrire pour la premeire fois, les plus grands malheurs; il serait trop long de vous En faire l’enumeration. il me suffira de vous dire que je suis Epoux et Pere de famille. Sans aucune Ressourçe—n’ayant pour tout bien que des maisons qui sont devenues de nulle Valeur depuis la Suppression du Commerce ameriquain dans Ce port; je Viens En vrai maçon et avec toute la franchise qui le Caracterise; (la lettre que vous mavés Envoyée Pour M. Le. Comte de La LuZerne ne pouvant m Etre utille.). Vous En demander une Pour M. de marbois notre intendant; a votre Recomandation il aura Egard, à ma Situation, et me nommera à quelque Employ qui me donne de quoi Subsister.

jai eu la faveur de vous adresser En Xbre 1787 ou En fevrier Dernier deux plançhes de la loge des Commande  de Carcassonne; je les avais Expressement Reccomandées a mes Corespondants du Cap; jignore Si elles vous Sonts Parvenues.

jai la faveur Detre avec un profond Respect, Monsieur et tres Respectable frere Votre tres humble et tres obeissant Serviteur