J’ai eu l’honneur de Vous ecrire il y a deux ou trois jours, pour vous prier de vouloir bien me faire savoir si vous aviés eu la bonté de faire tenir a Mr. Wiliams une lettre que j’ai pris la liberté il y a quelque tems de Vous addresser pour lui ne sachant pas ou il pouvoit etre alors. Comme depuis je n’ai eu aucune de ses nouvelles, non plus que de Vous, je vous prie, en grace, de Vouloir bien, par un mot de réponse, me faire savoir si Mr. Viliams a reçu ma lettre, et s’il est parti pour Nantes Vous obligerés infiniment Celui qui a l’honneur d’etre avec la plus parfaite Considération Monsieur Votre tres obéissant serviteur