Pardonnéz Monsieur a linquiétude d’unne soeur qui étan obligée de vivre éloignée dun frère que jaisme ausi tantdrement ne peut supporter les riguer de lapsanse que par les nouvelle frécante quelle peut avoir en étant privée depuis 8 mois josse vous suplier monsieur de vouloir bien avoir la bontez de lui faire tenir la lètre que je pren la libertez dinsérer dans la votre jes deja resantie tandefois les éfes de votre bienfésanse par selle que vous avez deja fait tenir tan a lun qua lostre que je me flatte encorre que si vous saviez de mon frere duponceau qui est sousécrétaire détat au département des afairre étrangerre a philadelphie quelque nouvelle bonne ou mauvaisse votre charitez sétandrét jusque en fairre donner a selle dont la reconnoisanse égalle le profon respect avec lequel jés lonneur destre Monsieur votre aubeisante servante