Mad. La Douairiere de Deux-ponts embrasse son digne ami de tout son coeur; elle est bien fachée de ne pouvoir lui donner du Thé demain Lundi: mais elle va à la comédie italienne, et mardi à Versailles pour le reste de la semaine: afin de se dédommager d’une privation aussi longue, elle renouvelle sa priere à son ami de lui donner un jour dans la semaine prochaine pour venir diner avec M. Le prince de Deux-ponts, et des americains françois.
Le secretaire intime présente ses tendres respects à M. Franklin et fait mille amitiés à M. son petit-fils.