Je vous aurés plustôt donné de mes nouvelles si je n’avois crû qu’en ecrivant a mon grand papa je pouvois vous en donner vous deves penser que je vous aime trop pour vous oublier ne croyes pas mon cher cousin que j’oblie les bontes que vous aves eu pour moi je suis bien aise que Cockran se porte mieux je vous prie de lui demander ceux qui sont morts par la petite verole dans la pension ou j’etois je vous prie de lui faire mes compliments et de lui temogner la part que je prends a sa maladie et je vous prie d’en faire aussi a deane je vous assure mon cher cousin de lamitié avec la quelle Je suis et serai toute ma vie votre respectueux