J’ai reçu M. la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’ecrire le 4 de ce mois ainsy que les pieces dont vous l’avez accompagnée, relativement au secours extraordinaire que vous etes chargé par le Congrès de demander au Roi.
Ma lettre du 5 de ce mois vous a deja instruit de l’impossibilité où etoit S.M. de deferer a cette requisition. J’ai mis encore sous ses yeux une nouvelle instance à cet egard, et c’est avec regret que je suis dans la necessité de vous mander que le Roi n’a pas cru possible de rien changer à sa premiere determination.