From Deacon M. Auer (unpublished)
Ebingen au duché de Wurtemberg le 1. sept. 1781.
Monseigneur!

J’ai recu la Lettre dons il Vous a plu m’honorer, et je Vous puis assurer, que je l’ai recûe avec d’autant plus de joye, que je la regarde non seulement, comme un heureux presage du Bonheur, de recevoir bientot un Soulagement pour la pauvre Veuve, Madame Hocklerin, avec ses enfans, mais aussi comme une marque sensible de Votre Grace. J’ai suivi a votre Conseil, en ecrivant a Son Exc. Monsieur Richard Bache, a Philadelphie, et je vous prie pour L’Amour de notre Seigneur Jesus Christ, d’envoyer les lettres, comme il vous plaira, avec des Vaissaux, dont votre Excellence croyent, qu’elles les portent avec la grande sûreté au Lieu nommé. Nous ne manquons pas, de faire des Voeux des plus ardents, pour Votre Prosperité perpetuelle, et pour Votre Santé. Je suis avec le plus profond Respect Monseigneur Votre Excellence tres humble Valet,

M. Auer, Diacre.

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