Une situation assez singulliere me determine a m’adresser a vous, avec cette Confiance que l’homme vertueux inspire a tout être pensant, vous demander le secret serait un outrage, tout est concequand, quand il s’agit de fixer le sort d’un homme de merite en fixant ses irresolutions ou plustot les faisant disparaitre par des conseilles dicté par la sagesse, vous estes un de ses temple Monsieur, je ne puis meguarer en en prenant la route et en vous priant de m’acorder un moment d’entretien, ou je puisse avec tranquilité vous exposser la positions d’un homme que ses talens dicinisse, et neanmoins qui n’est pas heureux. Je ne peux vous en dire Davemtage, je trompe l’amitié; dans le projest de la servir votre mérite sera mon excusse si l’on me juge inconcequante; j’attand le moment ou je pouré avoir l’honneur de vous voir avec la plus grande impatiance. Soyéz persuadé de toute ma Gratitude et de la respectueusse vénération avec laquelle j’ay celui d’etre votre tres heumble et tres obeissante servante