Je vous envoÿe, Mon cher ami, une grammaire francoise qu’un des mieux m’a prié de vous faire parvenir, afin que ayés la bonté de la mettre sous les ÿeux de Mr. votre grand papa; d’après son Examen je vous serai obligé de lui demander sil croit que mon ami feroit bien d’en envoÿer en Amerique, et de la faire traduire en Anglois. je vous demande pardon de mon importunité, mais lorsquil sagit de rendre Service a quelqu’un j[?] toute antipathis pour elle.

je suis avec les sentiments de la plus venerable amitié Mons cher ami. Votre tres humble et tres obéissant Serviteur