Agréez, je vous prie, un million de remerciements bien sincères et bien affectueux de l’accueil gracieux et distingué dont vous avez honoré M. Saugrain et son compagnon M. Dicque [Pique], que j’avais pris la liberté de vous adresser et de vous recommander. Ces jeunes gens manquent, disent-ils, d’expression pour marquer leur vive reconnaissance pour toutes les bontés dont vous les avez comblés. Daignez, Monsieur, les leur continuer, je vous en supplie, ils vous devront leur bonheur, mes amis et moi nous vous devrons le nôtre. Nous soupirons tous après l’heureux instant auquel nous pourrons aller vous en faire hommage, ainsi que des sentiments de reconnaissance et de vénération qui nous animent.
J’ai l’honneur d’être avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.