A mon retour de L'Orient j'ai trouve une Notte de votre part, (sans datte) que me demande des Renseignements a sujet de la Pacotile que notre Ami feu Monsr. Dubourg avait confié a mon Frere—. En reponse a cette Demande J'ai l'honneur de vous remettre les Copies de 3 Lettres que J'ai ecrit—Scavoir A Monsr. Breton le 4 Août 1779 A Monsr. Dubourg le 10. 7bre. 1779 A la Vve. Massé le 6 fevrier 1781.— Lesquelles trois Lettres contiennent tout ce que je scais, & tout ce que je peux dire a ce sujet— J'ai entre mes Mains trois Oppositions au sujet de cette affaire—du 18. 8bre. 1779 de la part de la Vve Massé— du 28. 8bre. 1779—de la part de Monsr Bre-ton— du 19 Janvr. 1780— de la part de Monsr. Andre Micheaux et quand je receverai quelque chose J'en disposerai suivant les Regles de la Loi; mais comme l'affaire est dans les Mains du Congress, c'est a dire dans le Bureau d'emprunt, je crois qu'il sera bien de la laisser la. Je voudrais etre quitte de toutes ses Opposi-tions, car dans le fond la chose ne me regarde pas, J'ai par Amitié a Monsr. Dubourg pris ses Marchandises & par son Ordre je les ai remis a Mon Frere, ainsi c'est mon Frere & pas moi, qui doit repondre a toutes les Questions qu'on me fait. Je vous prie de remettre cette Lettre & toutes les Copies a la personne que vous a demandé les Informations. Je suis avec le plus profond Respect Votre affectioné