J’ai desiré que l’article que je destine pour le Journal sur le Maïs vous fut communiqué, avant d’etre publié. Le S. Gendron aura l’honneur de vous le présenter avec un Echantillon des métamorphoses qu’il fait subir au maïs, en en fesant d’excellente patisserie.

Je vous supplie de me renvoyer cette notte dans vos observations; vous aimés cette substance farineuse et vous devés vous interesser, Monsieur, à sa reputation.

Une absence de plusieurs mois, au    en Bretagne ou j’ai été en Vertu d’une commission dont le Roi m’a chargé, m’a privé depuis du tems de l’honneur de vous rendre mes devoirs. Je tacherai de me le procurer au plutot.

Je suis avec un très profond respect, Monsieur, Votre très humble et très obeissant serviteur