Votre procès pour le reglement de La Prime sur la Nancy va être jugé à la pre. audience. J’ai recommendé au verso qu’on      le jugement autant qu’il dépendroit de lui; dans l’espoir ou je suis que vous ferés décider la question par les ministres. mais sur la lettre de M. De Vergennes que les assureurs ont à produire, il n’est pas douteux que vous ne soyés condamné ici, malgré votre bon droit. Comme l’affaire est d’autant plus interessante qu’il           en apparence le montant de cette prime. Si vous pouviés obtenir du ministre un   communiqué devant lui, vous auriés lieu d’etre traité favorablement et cela seroit plutot decidè. Je vous ai ecrit dernierement pour vous procurer quelque argent, heureusement par le secours qui nous est venu fort à propos, vous êtes à lieu de vous passer de celui d’autrui. Je vous en felicite et je m’en rejouis aussi pour moi, parceque vous allés sans doute me faire de        J’ai assurement grand besoin. J’ai l’honneur d’etre très parfaitement Monsieur votre très humble et obeissant