Voici un envoi que j’ose addresser à Mr votre grand Papa. Je desirerois bien qu’il pût ne pas lui déplaire. Adieu, tâchez de remporter la victoire sur votre oreiller, et de me donner quelques heures pour lire ensemble du français; je n’ambitionne que votre gloire, et ne demande que votre estime et votre amitié. Quand verrai-je mon portrait? Adieu. Vous connoissez mon respect