Nous ne chantons pas encore victoire, mais il y a un mieux sensible, un mieux qui nous console et qui atteste que nous éluderons l’horrible malheur que nous croyions voir de fort près. On a renforcé les bouillons de notre pauvre malade, pour diminuer un peu son extrême foiblesse: ses nuits deviennent moins agitées, l’oppression est Disparue, la Toux annonce une poitrine moins débile et la fievre paroit être sur son déclin; il lui reste une chose bien importante a recouvrer, c’est le sommeil.