From Charles-Eugène-Gabriel de la Croix, Marquis de Castries (unpublished)
Versailles Le 10. Juillet 1785.

Je n’ai appris, Monsieur, que depuis très peu de jours, les dispositions que vous avez faites pour votre départ: si j’en eusse été informé plutôt, je me serais empressé à proposer au Roi de destiner une fregatte pour vous transporter dans votre patrie d’une manière à lui faire connaitre la considération que les services distingués que vous avez rendus vous ont acquis en france, et les bontés Particuliéres de Sa Majesté, pour vous.

Je vous prie, Monsieur, d’agréer mes regrets et une nouvelle assurance de la plus parfaite considération avec laquelle, j’ai l’honneur d’étre, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur

le M[aréch]al de Castries

M. francklin
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