From Frères Camusat & C. Lerouge (unpublished)
A troyes ce 23 8bre 1782
Monsieur

Nous nous étions flates d’estre plus heureux et nous éprouvons avec peine votre silence sur la demande que nous avions pris la liberté de vous faire. Nous savons que des interests particuliers ne sont pas dignes de vous occuper, cependant comme chacun de vos compatriotes semble avoir des droits à votre bienfaisance, nous avions eu recours à vos lumieres pour ne pas nous égarer, et nous rendre certains du dégré de confiance que nous pouvons accorder à Mr Stokcolm. Si notre importunité ne vous est point a charge, nous vous réitérons notre prière, et nous sommes intimement persuades qu’elle trouvera chez vous un accueil favorable. Nous sommes avec respect Monsieur Vos très humbles et très obéissants Serviteurs

freres Camusat et C. lerouge

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