Tout ce que M. de Chaumont a proposé a M. franklin sur les etoffes qu’il luy a ceddé ne peut n’y ne doit donner a mon Dit Sieur franklin aucune inquietude, parceque c’est M. franklin qui doit a M. de Chaumont, et que ce dernier n’a d’autre objet que de s’aider dans ses propres affaires de la dette de M. franklin. M. le Comte de Vergennes connoissant la Legitimité de cette dette ainsy que les Bezoings de M. de Chaumont veut Bien estre garent, ce qui fait honneur a M. franklin et ce qui soulage Beaucoup M. de Chaumont. Comme dans tous les cas M. franklin ne peut payer qu’unne fois, il ne peut se refuser aux arrangements proposés dont l’entremise de M. le Comte de Vergennes prouve a tous egards les Marques de Consideration qu’il a pour le débiteur et Les Bontés qu’il a pour le Creancier.